J’ai terminé hier Prédation, un thriller écrit à quatre mains par de Jérôme Camut et Nathalie Hug.
Un cadavre dénudé est découvert dans un terrain vague, la main droite arrachée par une explosion avec un énorme tatouage d’idéogramme sur le ventre. Un homme se tire une balle en pleine tête, dans un centre commercial bondé, avec en main, une mallette pleine de drogue, lui aussi à un tatouage sur le ventre. Un deuxième cadavre dans un parc parisien, lui aussi une main en moins et un tatouage sur le ventre…
Ensuite, puisque j’étais sur place, je suis allé voir À La Croisée Des Mondes : La Boussole D’Or, un conte fantastique avec la jolie Nicole Kidman et la mignone Dakota Blue Richards.
Dans un univers parallèle, pas si loin — mais quand même un peu — du notre, Lyra, une jeune orpheline, est pensionnaire dans un collège. Aidée de son dæmon (la représentation animale de son âme et de sa personnalité), elle se lance dans une folle aventure qui va l’emmener dans un voyage à travers le monde ou elle frôlera la mort et découvrira tant de choses…
Aujourd’hui, je suis parti faire un tour à l’UGC Ciné Cité des Halles, voir La Nuit Nous Appartient avec Joaquin Phoenix, Mark Wahlberg et Robert Duvall.
New York, 1988, Joaquin Phoenix, Bobby, gère une boîte de nuit branchée qui appartient à un parrain de la mafia russe. Son père et son frère sont respectivement, le commandant et un capitaine dans la police. Une nouvelle drogue apparaît et provient a priori d’une faction de la mafia russe, et son frère est chargé de l’enquête…
Suite à un réveil tardif hier, je n’ai pas eu le temps de voir tous les films que je désirais. Alors, je suis retourné aux Halles ce matin pour voir Hitman, un thriller basé sur le jeu vidéo du même nom avec Timothy Olyphant dans le rôle du tueur et Olga Kurylenko dans le rôle de la jolie fille (non, je n’ai pas d’idée pour un rôle plus prestigieux).
Il existe une organisation, sans nom, qui récupère des enfants non désirés et les élève dans un seul but, en faire des tueurs. Dans cette organisation, personne n’a de nom, mais tout le monde à un numéro et un code barre tatoué sur l’arrière du crâne.
Je regarde la série The Unit et c’est plus ou moins basée sur ce livre.
Dans ce livre, l’auteur, Eric Haney, un sergent major de l’armée des états unis à la retraite, nous raconte la vie de l’unité d’élite des forces spéciales, principalement spécialisée dans les opérations antiterroristes appelée Delta Force (où pour lui donner un nom plus complet, 1st Special Forces Operational Detachment-Delta (Airborne) [1st SFOD-D (A)]), depuis sa création et pendant les années 1980.
Ensuite, il me restait un autre film que je voulais voir. J’ai donc vu Je Suis Une Légende, avec Will Smith. (Non, pas de deuxième acteur, il est quand même bien sensé être le dernier homme vivant sur terre…)
Tout commence par la découverte d’un vaccin contre le Cancer, qui, au début, semble prometteur, puis, le vaccin se transforme en virus commence à avoir un effet tout à fait imprévu… Il commence par se transmettre par contact, puis prends son envol et se répands à toute l’humanité.
Cet après midi, après avoir fait un petit tour, je me suis retrouvé aux Halles, après un petit passage à l’UGC Ciné Cité des Halles, où les films qui m’intéressaient étaient soit commencés soit dans trop longtemps, je suis allé à l’Orient Express, et j’ai vu Agent Double
Février 2001, Robert Hanssen, un vieux de la vieille du FBI, est arrêté pour espionnage… Deux mois avant, un jeune spécialiste en informatique qui veut devenir agent reçoit comme affectation secrétaire de Hanssen. Son but, le surveiller, il est soupçonné d’être une taupe au service de la Russie.
J’étais toujours frustré de ne pas avoir pu aller au cinéma le week end dernier, alors je l’ai fait aujourd’hui. J’ai pris ma plus belle carte UGC illimité et je suis allé à l’UGC Bercy passer la journée.
J’ai donc commencé par American Gangster de Ridley Scott, avec Russell Crowe et Denzel Washington. Ce dernier joue le rôle de Frank Lucas un baron de la drogue dans Harlem pendant la fin des années 60 et le début des années 70.
J’ai vu le premier opus, Infernal Affairs, de cette trilogie la semaine de sa sortie en France (début septembre 2004 pour les incultes).
Je l’ai particulièrement aimé, et c’est peu dire pour un film que j’ai vu en cantonais sous-titré français. J’avais trouvé l’histoire belle, bien tournée, bien rythmée, et la fin triste, très.