Mat’s Blog

Il y a deux ou trois semaines, en partant du bureau un soir, j’ai oublié le livre que je lisais à ce moment là, je m’en suis apperçu en arrivant chez moi parce que j’étais rentré en Velib’. Le lendemain matin, partant en métro, il me fallait quelque chose à lire, après un petit moment de réflexion, mon choix est tombé sur Les Zinzins d’Olive-Oued le dixième livre des Annales du Disque-Monde.

Alors, on me dit dans mon oreillette qu’il ne faut pas que je parle de ma vie…

Bon, ben, alors, je parlerais des trucs qui m’intéressent plus alors, comme (liste non exhaustive, bien sur, je ne vais pas me limiter dans 6 mois parce que j’aurais oublié un truc aujourd’hui) le dev que je fais, perso où pas, les livres que je lis, les films que je vais voir, les gens que je rencontre, les endroits où je vais…

Je regarde la série The Unit et c’est plus ou moins basée sur ce livre.

Dans ce livre, l’auteur, Eric Haney, un sergent major de l’armée des états unis à la retraite, nous raconte la vie de l’unité d’élite des forces spéciales, principalement spécialisée dans les opérations antiterroristes appelée Delta Force (où pour lui donner un nom plus complet, 1st Special Forces Operational Detachment-Delta (Airborne) [1st SFOD-D (A)]), depuis sa création et pendant les années 1980.

Cet après midi, pour me changer les idées, je suis allé voir Dante 01, le premier film de Marc Caro en solitaire. Un thirller du genre O.V.N.I., avec Lambert Wilson, Linh Dan Pham, Dominique Pinon, Bruno Lochet et, le chanteur de l’ex groupe Les Garçons Bouchers, François Hadji-Lazaro.

Dans un recoin de l’espace, un nouveau prisonnier arrive dans une prison-asile flottant autours de la planète Dante, la station Dante 01. Dans cette prison, un petit groupe de criminels se sont portés volontaires pour être cobayes dans des expériences étranges.

Ça faisait bien longtemps que je n’étais pas allé au cinéma, alors, j’ai du retard (non, je ne suis pas enceinte), je choisis donc au hasard dans tous les films qui m’intéressent, et le dé que j’ai lancé (et aussi le timing) m’a poussé vers Iron Man, le dernier Marvel, avec Robert Downey Jr. dans le rôle de Tony Stark, beau gosse, coureur, grande gueule et milliardaire, Gwyneth Paltrow dans le rôle de l’assistante craquante du super héros et Jeff Bridges dans le rôle de l’ami de la famille et puis, finalement, du gros vilain méchant, mais rassurez vous, on ne découvre qu’à la fin que c’est le méchant.

Tony Stark, riche héritier et marchant d’armes réussis plutôt bien. (Il faut dire, un marchant d’arme aux états unis, ça marche.) Lors d’une démonstration de son dernier super missile de la mort quelque part au Moyen Orient le convoi militaire dans lequel il se trouve est attaqué, les militaires sont vites tués. Il survit tant bien que mal a l’explosion d’un missile, est kidnappé par des terroristes et s’en sort avec des shrapnel près du cœur, et un électroaimant branché sur une batterie de voiture en plein milieu de la poitrine.

Et comme je n’allais pas me déplacer un dimanche pour juste un seul film, mon choix s’est porté sur un film français dont on m’a dit beaucoup de bien, Deux Jours à Tuer, avec Albert Dupontel, Antoine, père de famille et Marie-Josée Croze, Cécile, en mère de famille.

Vendredi matin, Antoine, en réunion avec un client sur une publicité pour un yaourt 0% minable, et dont le client n’est toujours pas content, (il n’a d’ailleurs jamais l’air content,) place quelques autres accroches, et finit par quitter la réunion en expliquant que ce n’est l’accroche qui fera que le yaourt sera moins un produit merdique. Son associé le retrouve un peu plus tard dans un café, lui demande ce qui lui es passé par la tête, Antoine explique qu’il en a marre, le décide à racheter ses parts de la boite pour pouvoir passer à autre chose.

Ce midi, je suis allé voir papy Harrison Ford (68 ans quand même) qui retourne jouer aux aventuriers, Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal. Nous retrouvons aussi la jolie Karen Allen que nous avions déjà vu dans le premier volet de cette trilogie en quatre épisodes, mais cette fois ci, elle a un fils, Shia LaBeouf un peu rebelle. Et dans le rôle de la jolie méchante russe, nous retrouvons Cate Blanchett…

Tout débute en 1957, dans le désert du Nevada, sur une base militaire qui contient un immense hangar numéroté 51, ou Indy a été kidnappé par des Russes qui cherchent une caisse bien précise. Les plus attentifs d’entre nous trouveront que ce hangar ressemble beaucoup à un autre hangar que l’on a déjà vu à la fin du premier épisode. Aussi étonnant que ça puisse paraître, les russes ne sont pas a la recherche de cette caisse là (que l’on apercevra brièvement parce qu’Indy l’aura percuté), mais d’une autre, qui contient quelque chose d’encore plus étrange, mais bon, nous sommes dans la fameuse zone 51, hein…

Comme on m’en avait dit du bien, et qu’il y avait des chances qu’il ne soit plus en salle pour très longtemps, je suis aussi allé voir JCVD, le film sur et avec Jean-Claude Van Damme, mais aussi avec Zinedine Soualem et François Damiens qu’on a déjà vu dans OSS 117: Le Caire nid d’espions et Dikkenek.

C’est l’histoire d’un mec… J.C.V.D en a assez de tourner des films de moins en moins bien, rentre en Belgique, son pays natal pour échapper à la pression et aux batailles qui l’opposent à ses ex-femmes.

Ça faisait quelques temps, et quelques films que j’avais envie de voir, alors, j’ai commencé ma journée par aller voir le dernier film d’Éric et Ramzy, Seuls Two.

Eric y joue un flic, Gervais, pas vraiment doué, et Ramzy un voleur, Curtis, que ça amuse beaucoup de jouer au chat et à la souris, le premier essayant, sans grand succès, il faut l’avouer d’arrêter le deuxième depuis une dizaine d’années.

Ce soir, après un essai raté hier soir, j’ai de nouveau tenté d’aller à l’UGC des halles, pour voir Bons Baisers de Bruges, avec Colin Farrell, Brendan Gleeson, Ralph Fiennes ou encore Clémence Poésy, ces trois derniers jouant aussi dans un Harry Potter, je vous laisse le soin de trouver dans lequel, et qui ils jouent…

Suite à un coup légèrement raté, deux tueurs à gage sont forcés de prendre quelques jours de congés… À Bruges.