Il y a deux ou trois semaines, en partant du bureau un soir, j’ai oublié le livre que je lisais à ce moment là, je m’en suis apperçu en arrivant chez moi parce que j’étais rentré en Velib’. Le lendemain matin, partant en métro, il me fallait quelque chose à lire, après un petit moment de réflexion, mon choix est tombé sur Les Zinzins d’Olive-Oued le dixième livre des Annales du Disque-Monde.
Tout commence par la mort du dernier gardien de la porte d’Olive-Oued, qui permet a une très ancienne idée de s’échapper. S’en suit la malheureuse invention, par un alchimiste, de l’octocellulose, qui conduit à la création de l’industrie des images animées (appelée familièrement «clic»).
Tout ça donne un condensé de droleries, sur les thèmes de Cthulhu et des étrangetés Hollywood, avec des références a des films comme Lassie, Chantons sous la pluie, Autant en Emporte le Vent, Tarzan, Casablanca, où King Kong (Une femme géante escaladant un batiment en tenant un singe hurlant).
Ça me fait toujours autant rire, mais j’avoue qu’il y a plein de gens que ça laisse froid, m’en fout.