Hier soir, je suis retourné au ciné pour voir le deuxième volet de la série Narnia, Le Monde De Narnia, Chapitre 2 : Le Prince Caspian. On prends les mêmes et on continue…
Depuis la fin de Le Monde de Narnia, chapitre 1 : le lion, la sorcière blanche et l’armoire magique, un an a passé sur terre, nos jeunes garçons et filles n’ont pas beaucoup grandi, en tout cas, pas la petite Lucy.
Pendant encore une semaine ou deux, passe, au cinéma Le Grand Action, 5 rue des écoles, le film de Stanley Kubrick, basé sur le roman éponyme d’Arthur C. Clarke, 2001, l’Odyssée de l’Espace. Pourquoi j’en parle, et bien, parce que ce cinéma est l’un des rares sur Paris à avoir la possibilité de projeter des films en 70mm.
Rassurez vous, je ne vous parlerai pas du film en lui même, tout le monde a son avis, et ça va de « c’est simplement génial » à « bon, ça fait 1h qu’ils sont dans ce foutu vaisseau, quand est-ce qu’il se passe quelque chose. » Ceux qui l’ont vu savent, et puis, ceux qui ne l’ont pas vu ont juste eu de la chance d’y échapper.
Et pour terminer ma journée, une plus de quatre heures sur Jacques Mesrine avec les deux films de Jean-François Richet : Mesrine : L’Instinct de mort et Mesrine : L’Ennemi Public n°1. Avec Vincent Cassel dans le rôle titre, Cécile De France dans le rôle de Jeanne Schneider, Ludivine Sagnier dans le rôle de Sylvie Jeanjacquot, Ibars Valverde dans le rôle de Maria de la Soledad ou encore Gérard Depardieu dans le rôle de Guido.
Le premier film nous conte les débuts de Mesrine, la guerre d’algérie ou il sera décoré, puis, ses débuts dans les années 60, petit cambriolages, son mariage avec Maria de la Soledad avec qui il aura trois enfants, ses bracages dans divers pays, les débuts en prison, les évasions, le divorce d’avec Maria. Il part au Canada avec Jeanne Schneider, y enlève un milliardaire, sa fuite à travers les états unis, sa capture, son incarcération au Canada. La prison encore, puis l’évasion, sa vie là bas.